Sujet: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Dim 13 Mar - 12:23
Background, Musique pour les personnage, plus répartition des points de stats, c'est là! (Et aussi les dessins)
Isthalia
Reine Succube
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Mar 15 Mar - 20:03
Fiche perso : RPMJ Isthalia
Identité :
Nom : Saragore Prénom : Daric Age : 28 ans Sexe : Homme Race : Humain Classe : Magassassin
Buse : femelle, Hen-sul (les yeux du vent en Sindarin)
Physique :
Taille : 1m82
Poids : 75 kg, plutôt fin avec un peu de muscle au niveau des bras et du torse et des épaules principalement.
Cheveux: bruns foncés, un peu en bataille et plus très courts. Daric est souvent pas très bien rasé.
Yeux : blancs et regard vide, calme. Une cicatrice barre son œil gauche.
Peau : halé avec plusieurs cicatrices plus clair sur le torse, les bras ou le visage. Notamment des marques de griffes au bras gauche. Il a un léger tatouage sur la deuxième phalange de l'annulaire gauche.
Caractère :
Daric est ce qu'on appelle une ombre : discret, vraiment pas loquace et même un peu ermite, c'est un solitaire et un voyageur. Aussi difficile soit la vie, jamais on ne l'entendra se plaindre et il a d'ailleurs tendance à éviter toute personne capricieuse ou pleurnicheuse. Les gens en savent assez peu sur lui car il ne se confie pas, à vrai dire même son nom reste parfois un mystère pour les habitants des villages par lesquelles il passe. Il sait se faire invisible et effraie assez souvent les gens à cause de ça, c'est aussi un expert de la planque alors si il ne veut pas vous voir j'espère que vous êtes un champion à cache-cache, car vous ne le trouverez pas sans ça.
Futé et débrouillard, il aime bien résoudre des énigmes ou plus encore, être une énigme à lui tout seul. Il peut sembler trouble-fête car peu bavard mais il n'a rien contre un verre d'alcool bien fort. Il tiens d'ailleurs très bien l'alcool. Il a le sommeil léger et l’ouïe fine alors ne pensez pas marmonner dans son dos sans qu'il ne le sache. Pour ce qui est des relations, Daric n'a qu'un véritable ami, Hen-sul, une buse femelle avec qui il se chamaillent souvent mais dont il ne peut pas se passer. Liés par magie, ils se complètent et même après une dispute ils ne tardent pas à revenir l'un vers l'autre. Il n'a pas vraiment de famille, pas de femme dans sa vie et il n'en cherche pas. Disons que le dicton «ne pas mélanger le privé et le travail» s'applique tout les jours pour lui, il n'a pas de relation privé, n'en cherche pas, n'en veut pas.
Histoire / passé :
Daric est le troisième né d'une famille de cinq enfants avec des parents commerçants, plutôt aisés, et vivant sur un autre continent. Il a 9 ans d'écart avec l’ainé de la famille, Malor, et ne l'a donc que très peu connu car il s'est marié et est parti vivre ailleurs quand Daric n'avait que 8 ans. Il a toujours été beaucoup plus proche de sa sœur Trina qui n'a que 2 ans de plus que lui et de ses 2 petits frère et sœur jumeaux de 3 ans de moins, Cain et Anata.
Petit, il voulait être chevalier car il avait toujours aimé les animaux et qu'il voulait être un héros, il faisait du cheval avec un ami de son père, palefrenier d'un seigneur, jusqu'à ses 10 ans où il eut un accident de cheval. Ses parents, très protecteurs, lui interdirent alors de monter à nouveau à cheval et se mirent à le couver, s’inquiétant pour un rien, ne le laissant presque plus sortir,
Étouffé, Daric quitta le foyer une nuit quand il n'avait que 15 ans, sans laisser de trace et depuis il n'est jamais revenu. Il voyagea beaucoup à travers le continent, s'aidant d'une carte gravée sur un cailloux par Trina quand ils étaient plus jeunes et vivant tant bien que mal dans sa galère mais jamais en se plaignant car il se savait seul responsable de sa situation. Il fut recueilli quelques mois plus tard par un commissaire à l'autre bout de son continent natal qui lui appris à se défendre, à se battre. C'est aussi là qu'il rencontra Eijil, une magicienne en formation de son age avec qui il se lia d'amitié. Elle aimait l'entendre raconter ses histoires de fugueurs et lui il s’intéressait à la magie alors elle lui refaisait, le soir, les cours qu'elle avait dans la journée. Il resta 1 an dans la cité d'Ouregaux avec Frowin, le commissaire bon vivant habitué des tavernes, et Eijil.
Alors qu'il arrivait sur ces 17 ans, Ouregaux et ses habitants entrèrent en guerre contre le royaume voisin. La vie devint plus dure et peu à peu la violence des échanges entre les deux camps grandit. Au bout de 3 mois, Ouregaux fut assiégée et les adversaires mirent la ville a feu et à sang. Dans les explosions, la maison voisine de celle du commissaire pris feu et le lendemain au réveil, Daric avait perdu Eijil. Il quitta Ouregaux comme il avait quitté sa famille biologique et parti vers le nord dans les montagnes où seules quelques communautés continuaient de vivre selon des traditions ancestrales.
Il s'établit dans un village de chasseur et vécu de façon assez rudimentaire dans la cabane du chaman, apparaissant très peu, ne parlant jamais. Il approfondis ses compétences magiques seul jusqu'au jour où le chaman découvrant ses capacités lui enseigna son savoir. Il développa une plus grande affinité avec la magie et aussi la nature que vénérait les villageois puis un jour, Daric fut convoqué par le chef du village. Chaque année des jeunes du villages se voyaient participer à une cérémonie durant laquelle ils liaient leur être à un animal, leur procurant ainsi certaines capacités. Bien qu'étranger, Daric fut convié à cette cérémonie en tant que participant afin d'officialisé son intégration au village, il accepta et depuis ce jour, jamais vous ne le verrez sans Hen-sul, une buse affectueuse mais capricieuse, qui le complète à merveille. Totalement opposés par leurs caractères, ils se chamaillent mais ne peuvent se passer de l'autre. De plus Hen-sul apporta aussi à Daric ce contact animalier qu'il adorait petit.
A 20 ans, Daric quitta le village de chasseurs, avec quelques adieux cette fois-ci afin de rejoindre la civilisation. Il se rendit dans une ville de bord de mer et embarqua comme cuisinier sur un bateau pour rejoindre l'autre continent. Durant la traversée une mutinerie éclata, le capitaine fut assassiné mais alors que personne ne le remarquait en dehors des heures où l'estomac des matelots criaient famine, Daric fut assez futé pour se rassembler les troupes et se retrouver capitaine du navire. Son équipage lui voua même une certaine admiration par là suite à l'exception peut-être de celui relégué aux cuisines. Une fois sur l'autre continent, le récit de la prise de pouvoir de Daric se répandit tel une traînée de poudre dans le royaume portuaire et, intéressé par celui qui avait su dominer un équipage par la ruse, le roi demanda à engager Daric comme assassin. Garanti d'être logé et nourrit comme jamais, il accepta et commença sa carrière d'assassin officiel du roi qu'il quitta bien vite quand les différents assassinats qu'il commit lui attirèrent des problèmes.
Alors avec Hen-sul, Daric quitta le royaume sans pour autant abandonner son travail d'assassin mais préférant exercé à son compte tandis qu'il s'exilait. Depuis personne ne l'a retrouvé, il passe parfois dans les villes et villages mais on ne le remarque que rarement et à vrai dire peu de gens s’intéressent à lui. Il semblerait que cela lui convienne puisqu'il n'a jamais vécu autrement depuis ce jour : quasi-solitaire, errant sur le continent laissant derrière lui quelques cadavres sans justice.
Représentation :
Maëlys Tremblay
Maîtresse du Fouet
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Mer 16 Mar - 11:57
NOM : Eärciel PRÉNOM : Faënil ÂGE : 665 ans SEXE : Féminin SEXUALITÉ : Ça ne te regarde pas, crétin de voyeur humain. RACE : Haut-Elfe CLASSE : Paladine (à tendance barbare)
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PHYSIQUE : Mesurant 1m96 pour 81kg de pur muscle (et un peu de graisse pour les boobs), Faënil domine non seulement par sa taille mais également par sa beauté. Elle a le teint rosé, des cheveux attachés en couettes mi-haute d'un blanc pur avec deux mèches rouge sang. Ce même rouge fait son iris. Elle a une cicatrice sur l’œil droit mais voit parfaitement. C'est un humain qui lui a fait. Cet humain est mort. Dans d'atroces souffrances. Je vous passerai ses mensurations, elle ne vous les dira jamais de toutes façons, mais ses atouts féminins sont très visibles. Vraiment très visibles. Ce qui pose parfois problème pour mettre son armure. Ben oui, l'armure elle n'est pas extensibles hein ! Du coup, elle doit les faire faire sur mesure. Et ça coûte une blinde.
PSYCHOLOGIE : Faënil n'est pas méchante, (non, si, je vous jure, croyez-moi sinon on va pas s'en sortir les gars) elle s'énerve juste facilement. C'est tout. Enfin… Ça ne serait pas si grave si elle ne prenait pas tout de travers. Comme le reste de sa race, elle hait les humains. C'est encore plus vrai pour celui qu'elle a zigouillé après qu'il lui ait offert une cicatrice qui lui donne des airs d'Albator sur la tronche. Et comme elle a un caractère doux et affectueux (ahrem !) elle l'a très bien pris, hein. N'est-ce pas ? Non ? C'est bien, vous suivez. Elle a été faire un petit massacre dans un village paumé d'humains pour se défouler. Bon ben, y a plus de village hein, c'est un peu obvious. Bref, douce et attentionnée disais-je. Mais en plus elle est compréhensive, charmante, de bonne compagnie, bref, toutes les qualités du monde over the top of the dead level 9000 ! Non ? Pas crédible ? C'est vrai. Elle est tout le contraire. Elle n'a de charmant que son apparence. Parce que sinon c'est plutôt « chacun pour sa peau », « pousse-toi de devant si tu ne veux pas te faire embroché » accompagné d'un tendre « abruti congénital » avec sa multitude de variantes plus fleuries les unes que les autres. Bref. Faënil, c'est un ange. De la mort, plus probablement.
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HISTOIRE : Il était une fois, il y a 665 ans, sur les terres du Désert Glacé d'Istrad, une mère et un père qui voyaient leur enfant naître. Cette enfant fut prénommée Faënil. Elle était belle comme cœur et d'une incroyable douceur (oui, la peau de bébé quoi). Faënil était une enfant adorable (« Casse-toi ! »), d'une grande bonté (« Touches pas à ça, c'est à moi ! »), toujours polies (« Putain d'humain à la con ! Tu me casses les couilles ! »), pleine de grâce (*se gratte les fesses*) et de distinction (*te crache à la gueule). Cette petite fille grandit dans la magnifique ville de Lonelm (bien sûre qu'elle est magnifique. Hauts-Elfes mon gars !) entourée de sa famille. Elevée dans le plus grand faste (… Quoi ? T'attends quoi là ? C'est vrai, le faste ! Le fric ! FRIQUEE LA FAMILLE !!) mais aussi dans le respect des traditions hautes-elfiques (particulièrement l'auto-culte de la personnalité et le concours de crachat sur humain). Faënil était une petite fille heureuse qui faisait le bonheur de ses parents. Bien qu'un peu turbulente (si l'on peut nommé « turbulence » le fait de courir après un humain d'un mètre soixante-dix à 5 ans pour lui poutrer la gueule), elle était obéissante (surtout pour frapper). Faënil a grandit dans ce contexte de calme et de sérénité.
A 100 ans, elle s'engagea dans l'école de combat de sa ville pour recevoir les enseignements du grand maître. Ainsi elle pourrait protéger sa famille (poutrer de l'humain), sa ville (Poutrer de l'Humain) et son peuple (POUTRER DE L'HUMAIN BORDEL !) sans craindre pour sa vie (les orques, peut-être ? . . . Nan ! She is zhe beeest !) . Très vite, sa tendance à foncer tête baissée s'est révélée. Elle a hésité à jouer les tank barbare mais finalement… Bon sang ! On l'assigna à la défense (parce qu'elle est résistante cette connasse), donc Paladine… Mais pourquoi ? Ô monde cruel ? N'a-t-elle donc vécu que pour cette connerie ? Autant dire que son rôle de paladine n'est assuré qu'à moitié (vous me direz, une moitié, c'est déjà bien). Elle aura tendance à donner le double des coups qu'elle reçoit. D'ailleurs, elle frappe aussi ses alliés s'ils visent mal. Et elle les tue s'ils la visent elle. (Donc apprenez à viser très vite si vous tenez à vos dents et autres bijoux de famille.)
Grâce à ses hauts faits dans la guerre contre les humains, Faënil, alors âgée de 369 ans, obtint le rang de général des armées. Et là, ça a été une véritable BOUCH'RIIIIIIIIIIIIIIE !! Des guerres en veux-tu, en voilà, des morts tout partout, autant dire que la zone autour de Lonelm a été libérée de ses occupants sur des centaines de kilomètres à la ronde.
Mais ça lui valut sa destitution à 448 ans (oui, ils ont mis le temps. Ils ne sont pas tous intelligents chez Lonelm) parce que bon… ça craint un peu du steak tout ça. Recevoir des menaces de guerre de la part des autres peuples hauts-elfiques, ça craint, ouais.
Pas contente du tout, Faënil a pété son scandale (et le bureau du big boss) puis s'est barrée avec arme et armure pour aller faire sa croisade anti-humain toute seule comme une grande.
C'est durant cette croisade qu'un humain lui à offert cette jolie cicatrice. Et BAM, y a plus d'humain. Et y a plus eu de village voisin non plus.
Mais bon, elle commençait à être recherchée la gamine, donc elle a commencé à la jouer fine et à faire moins de massacre (question de survie). Du coup, elle a essayé de se la jouer assassin. Ca n'a pas marché. Pas du tout. Haha. (Oui non, crier « CREEEEEEEVE RACLURE D'HUMAIN » en abattant une enclume -trouvée sur la route- sur le crâne du-dit humain… c'est pas discret, nan.)
Depuis ce jour, la douce et gentille Faënil voyage de ville en village, laissant parfois un cadavre dans le puit ou dans une chambre à la taverne. (Oui parce qu'elle a un goût prononcé pour la choppine la demoiselle. PAR CONTRE ELLE EST TOUJOURS PUCELLE !! *se fait assassiner par Faënil avec un tank*)
NIVEAU 2 EXP 0
Caractéristique
Point de base
Bonus
Level up
Total
Force
50
+3
+2
55
Dextérité
5
5
Furtivité
0
0
Éloquence
45
+1
46
Intelligence
25
25
Constitution
60
+3
+2
65
Faim
20
20
Soif
20
20
Vie
27
1
Folie
7
1
ErinyesXenon
L'inconnu du coin de la table
Sujet: Modération Mer 16 Mar - 17:32
Salut salut, je crois que c'est ici qu'il faut raconter l'histoire de notre personnage ainsi que ces caractéristiques donc vouali voualou. https://www.youtube.com/watch?v=tDTQQWSmo8s&list=RD90dBpZNvWgg&index=42
'Dans le Nord, le Nord le plus lointain et le plus froid, le Nord avec un N majuscule, le Nord au quel on pense en disant 'Winter is coming' et en zoomant sur la tête de Ned Stark lorsqu'il l'a encore sur ses épaules, le Nord où vivent des guerriers sans nul autre raison de vivre que de mourir vaillamment au combat après avoir tranchés têtes et tentacules, pour se bourrer ensuite l'éternité au Valhalla. Dans ce lieu où il n'y a ni pays ni régions changeant à chaque reforme électorale, mais uniquement des villages de valeureux guerriers... Vit Emerir, fille de ses cousins, oncles ou de ses frères et sœur on ne sait pas vraiment avec ces consanguins de nordistes gens là... Élevé pour être une guerrière courageuse sans le moindre gène et ayant reçu enfin l’épée de ses ancêtres, elle part à la recherche de combat et de guerre où ses dieux pourront noté de sa bravoure et de son courage, ainsi que de sa résistance à l'hydromel et de la bière lors des pauses dans les tavernes. Alors ranger vos tabouret derrière le bar car elle arrive! Fière et déterminée! Rien ne l'arrêtera...' Elle est complètement buté, utilise souvent que la force pour régler les conflits, mais est très charismatique, (même avec la gueule de bois).
Force (Attaque+ Parade): 57 Dextérité(Tir+ Esquive):16 Furtivité(Déguisement+ silence):11 Éloquence(LE CHARISME):45 (+3 de bonus de race) Intelligence(Magie+Logique):11 Constitution(Défense):45
24PV 4Folie
Zoe
Toi, on sait que tu as un tonneau à ton nom !
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Mar 22 Mar - 22:17
(Il y a pas mal de fautes je sais mais pour l'instant je peux pas modifier alors osef xD si vous voyez mal les images cliquez dessus)
Document obtenu au près du village de Filidranhion, à Trorimion.
Spoiler:
Document obtenu au près des gardes de la ville de Jolares, à la frontière de Trorimion et du Royaume d'Istilion
Spoiler:
Document obtenu au près des garde de la ville de Jolares, à la frontière de Trorimion et du Roayume d'Istilion
Spoiler:
Document obtenu au près de la guilde Horyon de la ville d'Horyon, au Royaume d'Istilion
Spoiler:
Document obtenu au près de la guilde Horyon de la ville d'Horyon, au Royaume d'Istilion
Spoiler:
PV : 24 Folie : 8
Documents obtenus au près de la guilde Horyon de la ville d'Horyon, au Royaume d'Istilion
Spoiler:
Spoiler:
Spoiler:
Document obtenu au près de la guilde Horyon de la ville d'Horyon, au Royaume d'Istilion
Spoiler:
Document obtenu au près de la guilde Horyon de la ville d'Horyon, au Royaume d'Istilion
Spoiler:
Document obtenu au près du forgeron Bill Gaerley dans la ville de Paelerus à la frontière du Royaume d'Istilion et du Désert Brûlant d'Istrad
Spoiler:
Document obtenu au près des gardes de la ville de Paelerus à la frontière du Royaume d'Istilion et du Désert Brûlant d'Istrad
Spoiler:
Document obtenu au près de l'éleveur de chevaux Hector Fersanted dans la ville de Kalik à la frontière du Désert Brûlant d'Istrad et du Royaume d'Istilion
Spoiler:
Document obtenu au près du cadavre d'un voyageur solitaire dans le Désert Brûlant d'Istrad
Spoiler:
Chayes
Maître des Jeux/Quelqu'un a dit ellipse ?
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Mar 22 Mar - 23:05
NOM : ... Fille de Téor du Clan Jeinar ça compte ? PRÉNOM : Deljan SURNOMS : Beaucoup. Elle a la fâcheuse tendance de donner des faux noms régulièrement, en fait, tous les lister serait bien inutile.
ÂGE : 19 ans SEXE : Féminin RACE : Humaine, d'origine nordique. CLASSE : On va dire chasseur de démon, même si en vrai, c'est plutôt artiste de cirque. Et/ou courtisane. PV : 30 (28 maintenant) FOLIE : 9
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Mer 23 Mar - 20:31
Nom : -
Prénom : Gabrelle
Âge : 27 ans
Sexe : Femme
Race : Semi Elfe (mi homme mi haute elfe)
Classe : Chasseuse
Métier :
Gabrelle est un enchantement pour les yeux. Grande, élancée, svelte, elle mesure 1,82m pour 60 kilos. Elle a un corps bien fait, avec des muscles robustes -mais tout en longueur et en finesse- que l'on devine aisément sous sa peau claire et parfaite. Son visage, orné de deux iris dorés, est d'une douceur bouleversante. De longs cils, un petit nez droit, des lèvres roses pales... On lui accorderait presque toute confiance tellement elle a l'air d'un ange ! La comparaison peut être influencée par sa chevelure, c'est vrai... de longues mèches d'un blond platine doré, qui descendent jusque dans le milieu de son dos et qui ondulent de façon sensuelle... Il est évident que cela adoucit encore plus le personnage. Cependant, la beauté ne fait pas tout ! Et elle n'est pas forcément un héritage facile à porter.
Effectivement, si Gabrelle est aussi belle, c'est qu'elle est née de l'union -sûrement éphémère- de deux personnes vouées à s'entretuer : un haut elfe et une humaine. Ou l'inverse, qui sait ?! Pas Gabrelle en tout cas, car elle a été abandonnée et retrouvée alors qu'elle venait à peine de voir le jour. Oreilles, yeux et apparence physique en général permettent de deviner que ses parents étaient de ces peuples opposés, mais c'est bien là la seule chose qu'elle sait d'eux. Elle a donc grandi sous l'autorité de deux étrangers. Tout d'abord, durant l'enfance, avec une vieille ermite. Celle-ci ne se montrait pas très affectueuse envers la bâtarde mais elle avait bon fond et restait bonne avec elle. Ensuite, lorsque celle-ci trépassa, elle se retrouva quelques années larbin d'un chasseur désagréable à souhait. Elle l'abandonna un jour sans prévenir car elle sentait, alors qu'elle passait par l'âge transitoire, que son regard sur elle changeait et qu'il était de moins en moins prudent de rester seule avec lui. Néanmoins elle avait eu le temps d'apprendre les rudiments de la chasse pour pouvoir se débrouiller et s'en sortir seule. Elle resta donc solitaire et discrète depuis ce moment là, essayant de vendre gibier, arcs, flèches ou autre, ou de servir de guide en échange de quelques pièces. Elle ne pouvait guère faire plus, sa nature lui valant d'être peu appréciée des autres.
Pourtant, Gabrelle n'a rien de particulier contre les autres. Au fond, elle aimerait vivre en communauté comme les autres mais il est aussi vrai qu'elle garde une certaine amertume contre humains et elfes sans distinctions. Elle peut paraître froide et solitaire ou aimable et chaleureuse selon les jours. On ne peut pas dire qu'elle soit mauvaise. Au vu de l'éducation qu'elle a eu, elle est même très agréable et civilisée. Cependant, elle reste plutôt narcissique -consciente de ses traits avantageux- et pessimiste -sans pour autant se montrer lâche ou pleurnicheuse.
La ville est mise en quarantaine. La maladie la décime. Rien n’y échappe. Femmes, hommes, enfants, animaux et bétail sont touchés. Par prévention, j’ai dit à Tyrielle de s’enfermer dans une chambre, isolée et aseptisée par magie. Il sera difficile pour une petite fille de résister à la tentation de sortir voir ses amis. Mais si elle met le nez dehors ne serait-ce que quelques instants, j’ai peur qu’elle soit touchée à son tour. Les angoisses d’un père sont parfois irrationnelles, surtout lorsqu’il doit s’occuper de son enfant tout seul. Mais je préfère qu’elle reste à la maison le temps que je trouve un remède à ce fléau. Je pourrais facilement m’évader si je le voulais réellement, mais j’ai promis fidélité à ce village lorsque je m’y suis installé après mes études en magie. Je ne peux l’abandonner ainsi, pas quand on ne trouve pas d’autre solution pour endiguer un mal que de couper la partie malade.
Il est bien sûr possible qu’il s’agisse d’une maladie connue. Ce cas-là sera le plus simple, il me suffira de faire une recherche sur les symptômes dans ma bibliothèque. Il est possible également qu’il s’agisse d’un nouveau type de mal. Je devrai donc travailler en collaboration avec l’alchimiste de la ville pour trouver un soin qui lui convienne. Dernière hypothèse, et non la moindre, il est possible qu’il s’agisse d’une malédiction. Elles existent bien entendu, et il est important de ne pas en écarter la possibilité. Dans ce cas, il me faudra en trouver la source et l’éradiquer, peu importe la méthode ou ce que cela coûtera. Je suis l’un des seuls à pouvoir agir, c’est là l’important. Je ne peux me déroger à mon devoir lorsqu’autant de vies comptent sur moi.
Entrée n°2
Tentons de réunir quelques observations. La maladie met environs deux ou trois ans à tuer. D’abord, des tâches se répandent sur la peau du malade. Ces marques sont tout à fait indolores. Au bout d’un an, elles commencent à devenir douloureuses, puis insupportables, au point que le patient ne puisse plus bouger. A en juger par les tâches qui se développent sur la peau des malades, on peut penser qu’il s’agisse d’un cas de peste. Pourtant, elle reste très différente les recherches faites sur cette maladie auraient dû permettre de l’étouffer rapidement. Or rien ne semble lui résister, elle engloutit tous les soins, magiques ou non, qu’on lui applique. Est-ce une nouvelle forme de peste ? Un fléau résistant et nouveau ? Nous n’avons pas beaucoup de temps pour nous le figurer. Il faudra que je fasse quelques recherches pratiques. De toute manière, je doute que quiconque refuse de me servir de cobaye.
Entrée n°4
Alphonse a accepté de travailler avec moi sur la maladie. Je ne pouvais rien espérer de mieux. Cet alchimiste était l’un de mes meilleurs camarades, pendant mes études. Il est particulièrement doué. Je suis persuadé qu’à nous deux, nous pourrons trouver une solution en peu de temps. En ce qui le concerne, il a l’air de s’orienter vers l’hypothèse d’un nouveau type de peste. Dans un premier temps, nous tenterons d’orienter les recherches dans ce sens.
Entrée n°18
Les recherches ne donnent rien. Tyrielle s’impatiente. Une centaine de morts aujourd’hui. Je me protège du mieux que je peux. J’ai peur que cela ne tienne pas.
Entrée n°26
Le prêtre local nous a encore gavés de son prêche sur la punition divine. « C’est là Sa volonté », balançait-il de son air suffisant à une foule captivée. « Ce mal est un bien lancé sur notre ville afin de la laver de ses pêcheurs. Là où vous voyez le fléau, il n’y a que la justice. Là où vous voyez la mort, il n’y a que la purification. Là où vous voyez le mal, il n’y a que le bien. Tournez-vous vers la Déesse, priez, suppliez-la pour son Pardon et vous l’obtiendrez. Tout ce qui est en ce monde, même ce que le cœur rejette et ne peut comprendre, découle de Sa volonté. La Déesse teste notre foi, elle teste notre âme. Seuls les âmes immaculées sortiront indemnes de ce mal. Notre terre sera débarrassée de ses pêcheurs.» J’ai assez entendu de ces bondieuseries, je n’irai plus à la messe.
Entrée n°28
Ma petite Tyrielle m’a encore demandé quand elle pourrait aller voir son ami, celui avec qui elle passait toutes ses journées quand elle pouvait sortir. Comment lui expliquer l’inexplicable ? Je lui ai dit qu’il était parti pour un long voyage. C’était un grand cliché, mais je n’ai rien trouvé à lui répondre de mieux. Elle m’a ensuite demandé si nous pouvions partir là où il était allé, nous aussi, et pourquoi elle ne pouvait pas sortir de sa chambre. Je n’ai su quoi répondre à cela, en revanche. Sinon qu’elle le pourra bientôt. J’espérais pouvoir remplir cette promesse.
Entrée n°30
Le ravitaillement n’est pas arrivé depuis quelques mois. On dirait que le monde extérieur nous oublie. Avec la quarantaine, nous avons aussi été effacés des mémoires et de la carte. Désormais, en plus de la maladie, les gens succombent aussi à la famine. La plupart des mages et des alchimistes sont morts. Il devient difficile pour Alphonse de produire assez d’anesthésiant pour soulager les souffrances de tout le monde, tout en continuant les recherches. Une masse se presse à sa porte à tous les instants. Les gens ont faim, les gens ont mal, et il devient impossible de s’occuper de tout le monde à la fois. Nous sommes trop peu de deux personnes.
Entrée n°31
Bien entendu, notre seigneur a encore de grandes réserves. Mais je n’ai pas réussi à obtenir d’audience auprès de lui afin de partager les vivres. Il refuse toute visite. J’imagine qu’il se protège de l’épidémie, ce qui est compréhensible. On n’ira pas demander à un gros tas de donner un peu de soi. Après tout, la montagne de graisse sous laquelle son pauvre cœur se débat a besoin de bien plus de carburant que n’importe quoi afin de maintenir sa masse.
Entrée n°34
Le prêtre est touché.
Entrée n°38
Le prêtre, tous les médecins, tous les mages, tous les alchimistes, sont morts. Alphonse a rendu l’âme aujourd’hui. Il avait caché sa maladie depuis le début. Il n’avait même pas sourcillé une seconde. Je ne sais trop qu’en penser. Je ne suis même pas si triste. Lorsque l’on voit la mort tous les jours, on finit par s’y habituer. Par cohabiter avec elle, même. Ce que je sais, c’est que je suis sans doute l’un des derniers espoirs de cette ville. Tous les jours, les gens se pressent à ma porte pour me demander l’avancée des recherches. Mais je stagne. Je ne trouve rien. Et je ne suis même pas fatigué. Juste machinal.
Entrée n°40
Je pensé avoir cherché toute possibilité d’une maladie biologique. Il ne s’agit pas de quelque chose de naturel. C’est une malédiction. Quelqu’un veut décimer la ville. Quelqu’un, de puissant et de dangereux, veut effacer toute trace de vie dans l’endroit qui m’a vu naître. Et personne ne tente rien pour l’en empêcher. Ou plutôt, personne ne peut rien tenter. Voire tout le monde l’aide, en nous maintenant enfermés ici, en oubliant de nous ravitailler. Je n’ai plus le choix. Il faut que je me tourne vers les arcanes interdits. Je m’en suis procuré quelques-uns, au cas où je pourrais en avoir besoin. C’est que même les magies les plus terribles, les plus condamnables, peuvent être nécessaires lorsqu’elles sont utilisées pour le bien commun, et non pour des raisons égoïstes. De plus, il ne s’agit que de recherches. Cela ne fera aucun mal, si cela ne fait pas de bien.
Entrée n°51
Tyrielle est touchée. Une tâche s’est développée sur sa petite main. Jamais je ne me suis senti aussi impuissant. Ma petite fille. Je ne comprends pas ce qui a pu se passer. Je prenais bien soin de renouveler l’enchantement autour de sa chambre, quand bien même il me fatiguait encore plus que n’importe quelle recherche. Qu’est-ce qui a pu se passer ? Est-elle sortie pour voir son ami ? Elle me dit que non. Je la crois. Parce que si elle est touchée malgré la protection, c’est une preuve de plus pour affirmer que la maladie n’est pas biologique. Elle est magique. C’est une malédiction. Et une malédiction puissante. Maintenant que j’en suis certain, je n’ai plus beaucoup de temps. Il faut que je trouve ce que c’est, et vite. Il me reste trois ans.
Entrée n°56
Je pense avoir trouvé une trace de ce qui pourrait être la malédiction. Il s’agit d’une gamme de sortilège puissants, dans la catégorie des sorts de morts, qui peuvent décimer jusqu’à une population. Seul un mage extrêmement puissant est capable d’en lancer de pareils. J’ai peur. Je l’avoue. J’ai peur de ce à quoi je me confronte. Dans un souci de prévention, il me faudrait sans doute parfaire ma maîtrise de la magie. Et peut-être mener des recherches autodidactes, concernant d’autres types de magies un peu plus, disons, dangereuses. Après tout, ce n’est pas pour rien qu’elles sont interdites. Elles sont puissantes. Si je les maîtrisais, je pourrais me défendre face à ce monstre, le tuer, même, sans doute. Je suis assez confus. Je ne sais plus si ce que je fais est juste ou non. Mais après tout, pourquoi je me pose seulement la question ? Mes intentions sont justes, là est l’important.
Entrée n°68
Tyrielle est morte. Je n’ai pas envie d’écrire aujourd’hui.
Entrée n°69
Je suis touché. Il y a une tache sur ma main.
Entrée n°76
J’ai essayé quelque chose de nouveau aujourd’hui. Au lieu de l’enterrer, j’ai conservé le corps de Tyrielle, pour quelques recherches. Après quelques tentatives sur ce nouveau sortilège, j’ai réussi à animer son cadavre. J’ai réessayé de nombreuses fois. Je ne savais pas tellement quel genre de forces j’invoquais, lorsque je faisais des morts mes esclaves. Sans doute des démons, ou que sais-je encore, ce n’était pas l’important. Après de nombreux mois de pratique, j’ai pu animer plusieurs cadavres, ceux qui jonchaient les rues de la ville. En peu de temps, ils ont décimé les porcs et les tas de graisse qui se trouvaient dans le château. Je me demande ce que cela leur a fait, de voir les morts causés par eux accomplir une vengeance méritée. Dans tous les cas, je suis content de moi. Nous allons pouvoir manger.
Entrée n°77
Je suis actuellement recherché, en quelque sorte. La milice de la ville parle d’un nécromant. Ils pensent que celui qui a tué le seigneur est le même que celui qui a lancé la malédiction. Je pense être tranquille pour le moment, mais il me faut redoubler de discrétion.
Entrée n°84
La douleur commence à émerger. Mais je ne veux pas mourir. Je ne veux pas mourir. Je ne vais pas mourir. C’est trop tôt. Je n’ai rien accompli. Je n’ai sauvé personne. Si je meurs, alors tout le monde mourra. Chaque jour des hommes, des femmes, des enfants se pressent à ma porte et me supplient. « Comment avance les recherches ? » Ils avaient tous des souvenirs, des rêves, des espoirs. Ils ne peuvent pas les perdre à cause de moi. Je ne veux pas. Je refuse.
Entrée n°89
J’avais si peur de ma mort que je l’ai provoquée moi-même.
C’est ce genre de paradoxes amusants qui donne son intérêt à l’art de la nécromancie.
Quand je m’observe dans le miroir, je me surprends parfois à penser que ce teint pâle est bien plus beau à regarder que ma vieille peau dorée. Mais je ne m’en soucie plus tant. Après tout, ce n’est pas comme si cela avait une grande importance. Ce qui m’importe pour le moment est de protéger mon phylactère. Et bien entendu, de trouver l’origine de la malédiction.
Entrée n°96
Tout le monde est mort. Je n'ai jamais trouvé qui avait maudit ma ville. Elle est déserte. Il ne reste rien ni personne. Sauf moi. Moi qui suis toujours en vie. Ou qui ait l’impression de l’être.
Entrée n°210
J’ai perdu toute notion du temps. Je ne saurais dire si je suis resté allongé dans ce cimetière une heure ou une année. Plus personne n’ose approcher ma petite ville, sinon quelques inconscients qui ne connaissent pas son histoire. Et moi, je n’ose plus en sortir, avec la dégaine que j’ai.
Entrée n°211
Au début, je me sentais terriblement coupable. Mais là, plus rien. Je crois que j’oublie peu à peu cette ville que j’essayais de sauver auparavant. C’est amusant comme les choses de la mort sont bien plus intéressantes que celles des vivants. Tout est plus simple. L’homme passe sa vie à tenter de lui trouver un sens. Les morts ne le cherchent plus. A communier avec ces êtres sans but, à partager leurs pensées simplistes, je pense avoir trouvé la véritable sérénité.
Entrée n°212
En fait je déconnais, c’est super chiant.
Entrée n°226
Je m’ENNUIE bon sang. Je m’EMMERDE TELLEMENT.
Entrée n°282
Il faut que je trouve un moyen de restaurer mon corps. C’est que le recueillement spirituel, la communion avec les morts, la méditation loin de tout contact humain, c’est bien, mais au bout d’un moment on en a marre de ne rien pouvoir baiser. Lichifiez-vous, qu’ils disaient, vous vaincrez la mort, qu’ils disaient, vous n’aurez plus les désirs et contraintes du monde mortel, qu’ils disaient. Enfin, personne ne m’a jamais dit que c’était une bonne idée, mais soit. Je doute qu’il soit possible de trouver un moyen d’inverser le processus de décomposition. Mais s’il y a une solution, même si elle est cachée au fin fond d’une grotte dans une cité naine enfouie à quatre-cent mètres sous terre scellée par un seau démoniaque qui demande de sacrifier un porc unijambiste à trois yeux le vendredi 5 et de répandre sa pisse dans un vase peint en orange un soir de pleine lune, il faut que je la trouve. Malheureusement, je ne peux faire un pas en-dehors de la ville sans me coller quarante connards d’aventuriers à mon cul. Tous persuadés que je cache forcément des trésors inestimables je ne sais où. Cela m’apprendra, aussi. J’aurais dû me bouger pour trouver cette solution avant de ressembler à la mère du seigneur.
Entrée n°287
Le suicide reste une option envisageable. Même si bon, je pense que je me paye un aller simple pour l’enfer avec tout ça. Oui, non en fait, pas envie.
Aeryn
L'alcoolique qu'on connait tous au moins un peu
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Sam 26 Mar - 22:44
Nom: Leviatus Stats:
Prénom: Amaryliss Force:10
Age; 32 ans Dextérité: 55
Sexe: Femelle Furtivité:52
Race: Fée Défense:15
Classe: Cambrioleuse intelligence:33+5
Métier: MarchandeÉloquence:20
PV: 24/ Folie: 8
( désolée j'arrive pas à mettre de spoiler, ca beug '-')
Archive de la bibliothèque de Tendrul Grimoire de l'arbre de vie écrit par les leadhyres originelles
Premier chapitre : Origine de la race des fées
Bien que de nombreuses fées continuent de nier leur appartenance aux haut elfes, il ne fait aucun doute que la vérité ne peut être changée. Au commencent il n'y avait que les elfes, les hauts elfes pour être plus précis. Un groupe qui gorgé d'une puissances qui ne faisait que croître décida de concentrer leur chi en un réceptacle qu'ils pourraient utiliser à leur guise. Le chi étant l'énergie universelle, sans limite, qui habite chaque être vivant sur cette planète. Cependant il est amusant de noté que seuls les haut elfes et les fées semblent connaître cette pratique magique. Les hauts elfes étant l'espèce qui en possédait la plus grande quantité, leur magie dépassait de loin toutes les autres, ce sont donc six êtres de cette espèces qui matérialisèrent leur chi en six chimères qui furent appelées fées. Cependant ce qu'ils avaient créé finit rapidement par se retourner contre eux. En effet, loin d’être de stupides objets sans esprits, leur créations se rebellèrent contre eux et s'enfuirent, conscientes d’être poursuivies par leurs maîtres en grande partie à cause du chi qu'abritait leur corps. Les jeunes fées décidèrent de rester cacher dans une petite province qui avec le temps portera le nom d'Evonia, cité féerique.
Elles prirent par la suite le nom de leadhyres, chacune étant le chef d'une des six fonctions féeriques qui vit le jour lorsque leur espèce commença à croître.
Pour celles ayant fait le rapprochement entre le chi que possède les fées et l’aptitude très spéciale de cette espèce je vous en félicite, car oui, dépossédées de toute maîtrise d'elles mêmes les leadhyres originelles furent incapables de maîtriser la puissances que leur créateur leur avait donné. Une perte de contrôle qui se manifesta alors sous sa forme la plus destructrice : la mort, infâme constations qui fut à l’origine de bien des trépas. En effet c'est à partir de cet instant que les fées comprirent qu'ils leur seraient impossible de se lier intiment avec un autre être, sans mettre fin à sa vie.
Archive de la bibliothèque de Tendrul
Récit de la bataille du district de Ferendir, frontière nord de la cité d'Evonia
En l'an 289 après la grande bataille, la cité féerique se retrouva assiégée par une armée humaine, conduite par un général de renommée du nom de Vasic, connu pour son intelligence vive et sa force spectaculaire. Les légions réussirent à balayer la première vague de riposte féerique et à dépasser la frontière du nord. Avançant jusqu'à la capitale de Nabua. Ils laissèrent derrière eux des villages incendiés et pillés ainsi que de nombreux cadavres dépecés de leur ailes. Il ne fit aucun doute que cette armée avait eue pour but de profiter des richesses de la cité tout en agrandissant leur territoire. Cette violente attaque permit aux leadhyres de l'époque de découvrir que les humains et autres créatures qui assiégeaient la cité étaient à l'origine d'un vaste trafic qui consistait à revendre des ailes de fées au marché noir, balayant tout sur leur passage. La riposte féerique s'organisa rapidement autour d'une guérisseuse ondine et guerrière : Seraphina Leviatus. Étoile montante du partis glade, elle fut nommée à la tête de la légion ombrage qui parvint après de long mois à renverser la tendance et à repousser les assaillants jusqu'aux abords de la frontière, l'armée humaine fut alors complètement anéantie et réellement défaite en une nuit. En effet pour quelques sombre raisons le général Vasic mourut quelques nuits plutôt, laissant son armée dépourvue de leader et en proie à des conflits internes. Il se murmure après coups que c'est la commandante Seraphina qui grâce à son chi provoqua la chute de son adversaire. Cette rumeur bien que jamais confirmé par l'intéressée fut d'autant plus connue que celle qui fut nommée leadhyre à la fin de la guerre mit au monde son premier enfants : Amaryliss Leviatus,
A la suite de cette guerre le conseils des leadhyres organisa d'importantes réformes, il fut interdit pendant plusieurs saisons, pour tout habitants d'Evonia de quitter la cité. L'armée perfectionna son système de camouflage magique et d'intenses luttes de pouvoirs émergèrent au sein des dirigeantes de la cité,
Rapport administratif du conseils des Shirescv
Capitale de Nabua
Relâchée plus tôt dans la matinée, la détenue 625 se vit confiée à sa grâce Mahuya, amie de l’intéressée, sans autres forme de sanctions,
Amaryliss Leviatus a été arrêtée par la brigades des Shires, inspecteurs du quartier commerçant de Fhochan. Prise en flagrant délit de vente d'objets prohibés ( article 24 du code du leadh : interdiction de vendre des objets venant de l'extérieur) la fée en question s'est désignée comme une « honorable marchande » qui je cite « fait ce qu'il faut pour survivre » avant de s'enfuir en courant.,
Rattrapée par les agents du Shires elle fut incarcérée à la suite de multiples troubles de l'ordre public : obtention d'un permis de vente illégale qui lui permit d'acheter une petite échoppe du nom de 'Dundh', fait qui lui avait déjà valu une session d’emprisonnement de courte durée.
Possession d'une quantité anormale de poudre de fée que je l'accuse personnellement de revendre dans le monde extérieur ainsi que de multiples plaintes pour vol.
Il ne fait aucun doute qu'Amaryliss ait une fois encore utilisée ses relations pour échapper à la justice.
La jeune fée âgée d'une trentaine d'années est décrite comme une nationaliste aux activités illégales, assez grande pour une fée, elle mesure un mètre quarante-sept et est vêtue d'une tenue légère en deux pièces, retenue par une ceinture ornementale faite d'émeraudes, le tissus est en soie blanc brodée de motifs dorées représentant des papillons. D'allure chétive, Amaryliss est très fine et possède une silhouette élancée longiligne au teint lumineux , éloignée de toutes formes féminines.
Son visage est fin et anguleux, ses lèvres fines, rieuses d'un rose délicat surmontées d'un petit nez mutin et de yeux de félin noir lui procurant un regard très expressif et vif.
Elle est dotée de cheveux courts et ondulés, d'un vert sombre qui s’éclaircit et continue jusqu'à ses épaules.
Comme toutes les fées elle possède de petites griffes ainsi que de fines oreilles pointues.
Quant à ses ailes, celles ci débutent en haut de ses omoplates symétriquement reliées à la base de son dos pour ensuite se prolonger jusqu'à ses fesses, moins longues mais plus larges, Recouverte d'une lumière argentée, celles si sont tellement translucides qu'il est possible avec une grande minutie de voir ses vaisseaux sanguin et les fins os qui soutiennent la structure.
Tyki Mikk
Celui qui boit beaucoup au fond
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Jeu 30 Juin - 1:02
Que dire sinon que j'ai énormément de retard (3 mois) ? Enfin, mieux vaux tard que jamais à ce qu'il paraît.
Nom : Sérastin Prénom : Maximilien, souvent abrégé en Max par ses connaissances, bien qu'il n'appréciait pas ce diminutif au début, il a fini par s'y habituer. Âge : 36 ans Sexe : Homme Race : Semi-Elfe, fils d'un Homme et d'une Haute-Elfe.
Classe : Aide-Médicale Métier : Alchimiste Croyance : Cemis, Déesse de la Guérison
Physique : Il mesure 1m75, les cheveux châtains ne dépassant pas des épaules et il a physiquement tout d'un Homme bien que son teint soit un peu pâle, les seuls indices de son ascendance elfique sont ses oreilles pointues cachées par ses cheveux et ses yeux vaguement verts feuilles. Certains considèrent que son coté Haut-Elfe le rend plus beau que la normale mais il n'a jamais vraiment compris de quelle "normalité" ils voulaient parler.
Histoire : Maximilien est le fruit de l'amour défendu d'une Haute-Elfe ayant quitter son peuple et d'un Homme chassé de chez lui pour sa pratique des arcanes de la Nécromancie. Un tel couple défiant les mentalités en cette période sombre, la famille n'eût pas de foyer fixe, allant des villes où sa Mère pouvait faire commerce des potions qu'elle concoctait aux villages dans lesquels son Père était payé pour les protéger de pillards ou de créatures nocturnes. Dans cette atmosphère il apprit vite à se défendre, sa Mère lui enseigna les bases du tir à l'Arc et de l'Alchimie tandis que son Père lui expliqua l'anatomie des êtres vivants et leur point faible, ainsi que le maniement de l'épée. A 27 ans il quitta ses parents pour explorer le monde, au bout de deux ans il rencontra un vieux Guérisseur itinérant dont il devient l'assistant jusqu'à sa mort quatre ans plus tard. Il passa ces trois dernières années à tenter de remplacer son défunt mentor auprès des villes et villages qu'il traverse.
Mentalité : Grâce à ses parents, Maximilien a très vite appris à éviter les jugements reposant sur la race bien qu'il reconnaisse leurs spécificités, de ce fait il ne comprend pas l'animosité existante entre les Hommes et les Elfes mais en a tout de même constaté les répercussions, aussi se fait-il passer pour un humain pour éviter les problèmes liés à sa double filiation. Il a également prit l'habitude de tisser des liens à court termes avec les autres puisqu'il ne restait jamais longtemps au même endroit et changeait donc souvent de compagnon de jeux dans sa jeunesse.
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Ven 29 Juil - 16:12
Spoiler:
→ Nom : Alawaka → Prénom : Leth-Naa → Age : 30 ans → Sexe : Masculin → Race : Humain
→ Classe : Barbare → Métier : Marchand
HISTOIRE :
La tribu Alawaka était destiné à s'éteindre et ce, dès la naissance de Leth-Naa. Il était le fils du chef et pourtant, il ne pouvait y avoir d'avenir pour lui au sein de cette tribu. On l'élevait comme tous les fils de cette tribu en lui apprenant les coutumes, mais la malédiction dont Leth-Naa été victime ne pouvait pas se briser. Alors, on faisait au mieux, jusqu’à ses 15 ans, on se disait qu'il y avait encore de l’espoir. Finalement, il avait eu une enfance heureuse au sein de cette tribu, peut être même que cela aura été les plus beaux moments de sa vie. Effectivement, après ses 15 ans, la vie de Leth-Naa a changé.
L'extinction du peuple de la tribu avait commencé aux 10 ans de Leth-Naa et depuis, maladies n'ont cessé de prendre un par un le peuple de la tribu Alawaka. Finalement, il ne restait presque plus personne. On craignait pour l'avenir, on se disait que la terre été maudite, que les dieux étaient en colère. Alors, on faisait plusieurs sacrifices d'animaux mais en vain. Finalement, il fut décidé de sauver le dernier fils du chef. Si effectivement les terres étaient maudites, alors il devait partir et sauver notre descendance avec lui. Alors, Leth-Naa fut obligé de partir loin de ces terres maudites.
Ce ne fut pas facile, mais Leth-Naa appris bien vite à se débrouiller. Au début, il chassait beaucoup, mais finalement, il apprit à utiliser un autre moyen qui lui demandait beaucoup moins d'effort, le vole. En volant, Leth-Naa pouvait survivre. Leth-Naa n'a jamais oublié sa tribu, son foyer, alors, il ne pouvait pas s'empêcher de rechercher une autre solution. Il cherchait divers moyen de pouvoir secourire sa tribu mais sans succès. Au bout de 5 ans de recherche, il se résignait. Il savait que c'était trop tard, ils devaient déjà être tous mort.
Alors, il continuait sa vie de voleur, il volait uniquement ce dont il avait besoin. Au début, cela lui convenait, mais peu à peu, il se mit à désirer beaucoup d'autres choses. En s’imprégnant de la civilisation il s'était imprégné de l'avarice. Alors, il avait acquis une nouvelle profession en quelques sortes. Il était devenue un mercenaire. Il tuait pour survivre et par la même occasion, il volait les richesses de ses victimes pour les revendrez. Ainsi, il créait une sorte de commerce. Leth-Naa n'avait aucune honte à faire cela car dans ce nouveau monde, il avait appris une nouvelle chose, seul les plus fort survive.
Bien évidemment, avec le temps, il avait acquis de la confiance, beaucoup trop de confiance. Cet excès de confiance mena Leth-Naa tout droit à sa perte. Il fut arrêté. Eh oui, il était là, il était présent dans ce convoi depuis le début. Seulement, il ne les a pas suivis. Pourquoi ? Parce que Leth-Naa est quelqu'un de solitaire, d’extrêmement seul. Leth-Naa ne vole que pour lui, pour personne d'autre.
Divinité vénérée : Ashava mais seulement les jours de pleine lune
HP: 24/24 Folie: 0/8
Physique :
J’ai une apparence humaine (vous vous attendez à un monstre hideux avec plein de tentacules) donc je disais une apparence humaine (peau mate) avec quelques particularités comme une queue blanches, des oreilles de loup blanches et une crinière (cheveux + poil) blanche. Je mesure 1m80, pèsent 80kg (de muscle vraiment…vraiment et de poils si vous voulez). Il possède des rouflaquettes blanches, ce qui me donne un coté sage. Je possède aussi une pilosité très marquée au niveau du torse. Je suis toujours torse nu ainsi on constate une grosse cicatrice le long de ma poitrine. Je possède un pantalon avec une sacoches en peau, déchiré sur plusieurs endroits. De plus, il a des manchettes d’esclaves ayant encore quelques maillons et des bandages de pugilat sur les doigts.
Histoire :
Je suis un Ulfhedin, race très rare d’homme-loup pouvant se transformer en loup, loup-garou ou homme. Souvent comparé au lycanthrope, les Ulfhedins sont ainsi chassé, réduit en esclavage. Mon histoire commence à l’âge de huit quand je fus abandonné par ma meute dans une province de Reyal. Je fus recueilli par un groupe de chasseurs humains qui s’amusa à me comparer à un chien (me donnant des aliments avariés, os, me donnant des coups de pieds et jouant avec moi au vas-chercher ‘--). Mais lorsqu’ils ont eu assez de jouer avec moi, ils m’ont vendu à un marchand d’esclave. J’ai dû valoir chère car les chasseurs partirent avec un énorme sac de cailloux dorés. Ma « superbe vie » commença. Ce fut d’abord mon « apprentissage », être docile, moi, un homme de la nature, jamais. Malgré toutes les punitions. Je restai un véritable démon. Ainsi, je fus vendu à une arène de gladiateur. Un gladiateur était censé tuer ces adversaires mais moi, toujours aussi dissident, je laissais mes adversaires en vie, une clé de bras, les coups bas étaient ma spécialité avec le direct gauche et uppercut droit. Voyant ma cote de popularité dans les paris illégaux baissait, mes « chers » bourreaux m’ont vendu à une famille d’aristocrates sylvaines dans les frontières d’Istrad. Cette famille me considéra comme un objet de collection, un débardeur, porteur et esclave sexuel (la saloperie vieille aristocrate, je la hais). Des années passèrent, j’appris à cacher ma dissidence. J’étais sans cesse demander par la maitresse pour me montrer devant ces invités tel une anomalie. Je rencontra une jeune semi-elfe avec qui je livra mes secrets et origines, me lia d’amitié et d’amour avec elle. Nous avons eu un projet d’évasion ensemble mais nous fûmes dénoncées par une humaine qui cherchait à devenir la préférée de la maitresse. La sanction fut cruelle, Mana (la semi-elfe) fut exécuté sous mes yeux. J’essayai d’empêcher son exécution. Au moment où la lame du bourreau allait couper la tête de Mana, je m’interposai. Je sentis la lame m’ouvrir le long de ma poitrine, du sang, mon sang. Je suis rentrai dans une rage aveugle et lorsque je repris connaissance, j’été en forme de garou, du sang sur les mains. Je découvris dans mes bras Mana, morte, le cœur transpercé par une lame. Je pleurai, pleurai. Lorsque ma tristesse fut passée, elle se changea en colère et je regardai autour de moi, là, je découvris un massacre, mon massacre. Ma maitresse et ses invitées été morts, deux gardes été éventrés et la saloperie d’humain qui m’a dénoncé gisez au sol le ventre rongé. Je pris Mana, un étrange livre avec une espèce d’étoile dessus, quelques cailloux dorés qu’on nomme kandams, un couteau et je partis en essayant d’échapper au garde. Arrivée loin dans la forêt, je creusai la tombe de Mana et je suis partis vers la liberté à la recherche de compagnons car je déteste la solitude
Psychologie :
Curieux, il recherche toujours à être en meute (en groupe). Je suis un peu susceptible, un peu beaucoup. Je vous aussi une haine profonde au aristocrates sylvains. Un peu cannibale mais il modéré, il mange du pj que s’il est mort et qu’il est très affamé Légèrement bagarreur ’aime les semi-elfes, la viande (volaille-elfique-porcine-sylvaine-bovine-humaine) et les baie Je suis déteste les sylvains, les chasseurs et les esclavagistes Je suis neutre avec les autres races et les légumes
Compétence Origine Bonus Total Force 45 +3+2 50 Dextérité 25 +2 27 Furtivité 10 10 Eloquence 35 35 Intelligence 30 30 Constitution 40 +2 42
Ira
Le petit nouveau sans capuche
Sujet: Re: Les Terres Oubliées : Fiches Persos. Mar 23 Aoû - 23:17
NOM : Hythral PRÉNOM : Raij'hor ÂGE : 500 ans TAILLE: 1m85 POIDS:75 kg SEXE : Masculin SEXUALITÉ : Ca dépend de la personne, mais étant très difficile en matière d'homme, on va dire hétéro à bi sous mérite d'en valoir le coup. RACE : Haut elfe pure sang. CLASSE : Mage vagabond (entendez par là qu'il se balade au gré du vent et de ses intérêts) spécialisé dans la magie de foudre et de soins.
_________________________
PHYSIQUE : Rai est un homme relativement peu imposant. Il est grand et a une musculature faite surtout durant ses voyages et à force de manier des choses lourdes dans les labos qu'on lui prête. D'aspect assez fluet, il faut lui enlever ses vêtements pour découvrir une musculature légère et étrangement présente. Il a de longs cheveux blonds en queue de cheval et les iris violettes. Il porte une longue veste de mage avec capuche mais qui ne lui va en haut que jusqu'aux coudes. Ses bras et ses mains sont couvertes de bandelettes noirs en tissus. Il est souriant, toujours souriant, au point que ça peut en paraitre agaçant. Il a un pantalon du même bleu que sa veste, un t-shirt à fermeture en lacet blanc avec dessous une côte de maille légère et une ceinture de cuire pour maintenir la veste au niveau de la taille. Aux pieds, il porte de longues bottes du même cuire que sa ceinture, dont la boucle est argenté. Etant un mage de foudre, il a souvent avec lui des couteaux ou autre arme qui peut faire conduire l'électricité, les lances lui vont également bien. Il est également un adepte des arcs, auquel il peut électrifier la pointe.
PSYCHOLOGIE:
Raij'hor est une homme curieux, avec une capacité de concentration limité quand ce n'est pas un bouquin de magie. Il adore expérimenter, tenter l'impossible et plus ca a de chance d'échouer, plus il veut tenter. Un brin suicidaire, l'elfe adore faire des expériences et a toujours le sourire aux lèvres. Aimant plaisanter, il s'amusera souvent à prendre un ton exagérément théâtrale et paraître faire le pitre, ce qui fait penser à beaucoup que c'est également un bon grand manipulateur vicieux. Cependant, sur un champs de bataille, autre son propre amusement, si il prend un combat au sérieux, il ne pourra s'empêcher de rire, entrant en extase dans les duels à mort et adorant sentir la magie l'imprégner et la puissance circuler par lui, ça lui provoque un état d'euphorie proche d'un effet dû à une drogue chez un humain, sauf que ni le cannabis ni la marijuana ne donne une encore plus grande sensation de bonheur quand on carbonise quelqu'un. Raij'hor n'est pas méchant, il est juste très puissant mais aussi bien fou. Cependant, fou ne veut pas dire stupide, et beaucoup l'on apprit à leur dépend, il adore juste jouer et parier. Il adore également la liberté et il n'est pas rare qu'il ai quitté un endroit sur un coup de tête, se laissant aller à ses impulsions et envies.
HISTOIRE :
Rai est un fils de noble. Il était très attendu par ses parents, car son père est issu d'une famille de la haute où une prophétie règne: "toutes les 6 générations un enfant aux capacités magiques largement hors normes naîtra". Et en effet, naquit un jeune blondinet avec bien plus de magie que ce dont un elfe normal dispose. Ses parents ont donc fait bien attention à lui, au point de l'envoyer dans une école de magie avant même de pouvoir l'embrasser pour la première fois. Ses parents, bien trop occupé à être fier ne se sont jamais vraiment occupé de lui. Ils l'exhibaient dans les dînés mondains mais sans même vraiment le connaître. Raij'hor grandit ainsi avec pour compagnie une nounou et inondé par la magie autour de lui: avant même qu'il apprenne à lire, on lui lisait des traités de magie pour commencer sa formation, il ne savait pas marcher qu'on l'amenait de force dans les bibliothèques afin de s'en imprégner. Il passa ensuite une bonne partie de sa vie à étudier à différentes écoles de magies en territoire elfe. Ses 500 années de vies ne furent pas tout à fait palpitante, mais il alla un peu partout (et je ne parle pas que les couches qu'il a visité) et allant beaucoup sur les champs de batailles. Si Rai est très puissant magiquement, c'est au prit d'une résistance aux coup qui le rendent assez vulnérable au corps à corps...enfin si on oublie des années de combat à la magie qu'il sait utiliser et un art du combat au corps à corps qu'il a créer en utilisant uniquement ses jambes et un bâton ayant un noyau et des parties en métal. Durant sa vie, il était connu pour être aussi dangereux pour ses alliers que ses ennemi, et parfois, certains disaient ouvertement qu'ils n'auraient jamais du faire appelle à cet énergumène. Cependant, les connaissances en magie de soins et les capacité de l'être on tendance à calmer la colère de ses alliés car il y excelle et il parvient tout le temps à réparer les dommages qu'il cause à ses alliés, enfin sauf quand ils meurent. Ses parents voulurent qu'il reste à l'académie, qu'il devienne professeur, mais le petit avait le goût de l'aventure et surtout des découvertes, sa nature lui interdit formellement pour l'instant une vie terne et monotone au même endroit...