Barthos, tu blesse Sildos qui a prit le coup de pied en plein dans le visage.
Avant de toucher le sol, il se teleporte au fond de la salle.
A genoux, il releve la tete, et sourit
-Vous avez raison...on est en plus grand nombre...
Il vous pointe du doigt 
-Saisissez les! 
Une vague d'une dizaine de fantassin passe par le portail, et tout les démons dans la salle se tournent vers vous.
Le combat, en plus d'etre completement desequilibré et quasi impossible a tenir.

Marcus, toujours dans les airs, lança un regard à Barthos. Ils devaient regagner la sortie au plus vite, ils ne feraient pas le poids à deux. Il s'éloigna donc, reculant un peu dans cette direction. Il tenta également -pour la deuxième fois- de lancer une onde de choc lumineuse devant lui en y mettant plus de puissance puisque le nombre des assaillants avait doublé.

Marcus, tu réussi à lancer une onde de choc puissante, et tu peux admirer pendant une petite seconde tout les démons éblouis qui ton attaqué, avant de voir débouler une brute qui te donne un coup d'épaule, et qui te fait foncer dans un mur. Tu te vois tomber à quatre patte au sol, avant d'avoir un gros blackout, avec une forte douleur à la tête.

Barthos, tu remarque un peu tard que tu es la seule personne encore debout dans la pièce étriqué face à une trentaine de démon.

Barthos peste, et constate qu'il a de plus en plus de démons. Il gueule à l'autre démon.

-Lopette, tu ne sais pas te battre comme un vrai démon!

Il jette un regard à son coéquipier, à terre et assommer. Il se rue vers lui en donnant des coups de faux pour le secourir et essayer de s'enfuir avec.

Le démon se place devant toi Barthos en se téléportant, et pare un coup de faux, avant de t'enfoncer les deux lames dans ton corps. Vu ta nature démoniaque, les lames n'ont quasiment aucun effet, mais te causent une douleur atroce. Tes jambes ne te retiennent plus et tu tombe à terre.

[ELIPSE]

Vous vous relevez, endoloris dans une cellule. On vous à enlevé vos armes et vos artefacts, et attaché dos à dos avec de grosses chaines plutôt épaisse, qui est elle même attaché au sol et au plafond, vous laissant à quelques centimètre du sol.
La pièce en pierre poussiéreuse ou vous êtes est typiquement une prison démoniaque. Des runes à la places des barreaux, qui diffusent une faible lumière rouge et de la haute sécurisation au niveau des lien.

Barthos se réveille, avec un mal de ventre. Il tourne sa tête, en prison, bordel, cela lui rappelle sa jeunesse. Il constate aussi qu'il est attaché et il constate qu'il ne touche pas par terre.

-Si on était ami, j'aurai dis qu'on s'est lié d'amitié mais nan. Mais pour la première fois de ma vie, je vole, il faut relativiser. 

Barthos essayait en vrai de se calmer et de ne pas se déchaîner (haha), l'humour est l'un de ces moyens pour se contenir.

-Je vole mieux sans les chaînes personnellement. 

Marcus écoute et observe, cherchant à percevoir si il y a des gardiens dans le coin ou d'autres prisonniers.

-Moi j'ai plus d'ailes. Donc c'est la première fois depuis des siècles.

Barthos s'agite dans ces chaines, pour voir leur solidité.

Marcus, tu ne vois rien et Barthos fait trop de bruit en secouant les lourdes chaines.

-Tu as une idée de comment sortir de cette prison?

Marcus réfléchit et tente de déployer ses ailes pour peut-être briser les chaînes.

-Pas la moindre non plus. C'est du costaud ces chaînes!

Barthos aide Marcus à essayer de les briser.

Vous n'y arrivez pas du tout. 
Barthos et Marcus, vous voyez un flash de lumière dans le couloir sombre.

-Heu, mec, c'est pas toi ça ? Non ? 

Barthos en a marre, et commence à s'énerver.

-Ben non... 

Il scrute le bout du couloir curieux et un peu inquiet.

Quelqu'un passa devant votre cellule et s'arreta devant.
-Je les ais...
Elle se penche et pose des pierres miroitantes sur chacune des runes d'emprisonement, puis s'approche de vous. C'est un homme au traits assez fin, avec un demi-sourire, et aux yeux brun caramel. Ses cheveux noirs sont cours et coiffés en bataille. Il ne porte qu'une simple chemise froissée, et un jean noir. Il a aussi une cigarette sur le coin des levres
-Eh bah... Ça fait 3 semaine qu'on vous cherche... Vous etes quasiment les seuls rescapé d'un sacré carnage.
Il pointe une baguette en argent pure d'une trentaine de centimetre et finement ouvragé sur vos chaines, qui deviennent rouges de chaleure, et qui finissent par sauter, vous libérants. Il sort des rayban qu'il pose sur son nez, et fait volte face
-Vous venez, l'ange et l'hybride? On s'en va.

Barthos fut d'abord étonné de le voir puis il se frotte les mains et s'étire. Puis, il s'adresse à l'homme avec son éternel politesse.

-T'es qui toi? Et comment tu m'as appelé?

Il se relève de toute sa taille minuscule pour un démon, à peine 1m70. Il se fait craquer une vertèbre en regardant dans les yeux. Même s'il est légèrement plus grand que lui, il le regarde quand même dans les yeux.

Marcus retrouva le sol et observa l'individu de la tête au pied. 

-Qui êtes vous et où voulez vous aller?

Il se tourne vers toi Barthos
-En voila un qui sait faire joujou avec son aura. Ecoute, je suis pas un expert, mais vu la teinte de ton aura, je dirais incube et quelquechose.
Puis il se tourne vers Marcus
-Vous n'avez jamais lu nué de rouages?

Barthos relève un sourcil puis l'autre.

-Ouais, et bien, tu ne sauras pas le deuxième. 

Il commence à avancer et à passer discrètement sa tête pour voir les alentours.

-Non, répondit simplement Marcus. 

Il n'était pas très bavard.

L'homme soupira un peu en passant dans le couloir sans même se soucier de si il y a des ennemis ou non.
"Je suppose que je ne te signerais pas d'autographe. Mon nom est Johnatan Crimbrand, dernier magicien du plan terrien et grand écrivain. Vous pouvez m'appeler Nate."

-Très bien Jonathan. Tu connais la sortie? On va devoir se battre encore?

Marcus été un peu affaibli, il ne serait pas au maximum de ses capacités.

-Un prénom d'humain... Pfff. N'espère pas avoir d'autographe de moi. 

Barthos était affaiblie mais il était toujours partant pour une bonne mêlée générale.

-Se battre? Je crois pas. 
Johnatan ria à la remarque de Barthos
-On m'a parlé de toi. Tu ferais un excellant personnage dans mes romans
Il vous mène dans les couloirs jusqu'à une sorte de de Hall. A l'intérieur de celui-ci, il y à une soixantaine de démons par terre, dont un grand démon mineur et un vampire.
Et vous comprenez vite pourquoi. Une sorte de petit comité est réunis. Marcus, tu reconnais assez vite le dieu du néant en personne, un grand homme aux ailes mauve, au long manteau brun ouvert sur son torse ou pend une améthyste. Ses yeux sont brun et ses cheveux sont noués en une longue natte qui descend jusque au dessus de ses hanches. Vous apercevez aussi ses rares double lames qui ont attiré la convoitises de bien des personnes. Il donne un léger baisé à sa femme, une succube aux cheveux blond, et à l'allure assez réservée. Un grand loup gris vous regarde arriver en déchiquetant un dernier démon, et une femme rousse aux yeux gris lui lance un regard vindicatif avec une pointe de reproche. Une vampire viens vous rejoindre. Elle à les cheveux ébènes comme ceux du dieu du néant, et deux yeux rouges. 
"Crimbrand! Enfin! t'en à mit du temps."
Sa tenue, pour le moins osée, constitué d'un corset noir et rouge, de leggings en cuir et de bottes de cuir à talon très haut ne semble pas déstabiliser Crimbrand.
"Je suis arrivé avant que Lawney miss Rodlick"
"On parle de moi?"
Un homme arrive derrière vous. Il est resplendissant malgré ses cheveux brun coiffé en bataille. Ses deux yeux dorés se plantent sur vous. Barthos, tu remarque immédiatement que c'est un incube.
"J'ai trouver... Heu... ça en prison."
Il s'écarte et vous pouvez voir Zillah apparaitre.

Zillah avait été envoyée sur "la terre du dessous" comme elle l'appelait pour trouver quelqu'un... et le tuer. Ce quelqu'un s'était planqué dans un groupe de personnes aux races très diverses et Zillah, emportée par la foule par sa folie du sang, ne tua pas que sa cible... mais aussi d'autres... et notamment deux démons. Les autres l'attrapèrent et la jetèrent en prison sans qu'elle ne comprenne pourquoi. Et voilà qu'on l'en sortait pour l'emmener dans une pièce remplie de monde... et d'un dieu ?

Du haut de son mètre vingt, elle regarda avec curiosité tout ce qu'il y avait ici, se demandant sans cesse ce que c'était et à quoi ça servait. Et puis... on la qualifia de "ça".

"Je ne m'appelle pas ça ! Je m'appelle Zillah !" dit-elle assez fièrement.