Devant la porte du Labos, le savant est penché sur son bureau. Il bricole quelquechose, et tu vois une arme sur l'établis a coté. Il n'a pas l'air blessé, mais ses manches sont retroussées, et un de ses bras est en acier.

Mika attend qu'il soit passé avant de passer un appel à sa direction en chuchotant très faiblement

-Pouvez vous me donner des informations sur le 145ème étage 115 rue de la Villette? Il y a un scientifique, est ce qu'il appartient au gouvernement? 

Mika regarde pendant ce temps le carcasse pour faire croire qu'il analyse la situation.

Mika, des ondes radios trop puissantes t'empeche d'appeler.

Éléa, tu approche et tu frappe le scientifique. Il lance un cri déchirant et s'écrase par terre, dévoilant le fruit de son travail. Tu la reconnais immédiatement comme étant une bombe IEM géante... Ça te semble tres tres tres etrange... D'autant plus que cet homme voulait diriger une armée de robot.

Mika n'aime pas du tout ça, il lance un regard vers les autres.

Tu fouille dans les dossiers et tu trouve des documents a propos d'une entitée que le monsieur a créer. Elle s'appelle Mother, c'est une IA placé dans un corps cybernetique modifié. Elle était sensé pouvoir apporter des réponses aux problemes actuel. Derriere ces fiches, tu trouve une lettre du docteur que tu viens de tuer, specifiant a un ami que mother avait reussi a trouver un remede au cancer, et avait creer un petit objet capable d'inverser les problemes due au néon.
Un autre papier derriere, dactilographié cette fois-ci, montre une formule chimique que tu ne comprend pas, avec marqué en gros en dessous "FUTUR".
Le dossier ce termine par une lettre. Dans celle-ci, le savant que tu as assassiné à dit qu'il avait du eteindre la machinerie de Mother en raison de nombreux disfonctionnement des entitées robotiques qui l'entouraient, qui brisaient sans cesse les trois lois d'Asimov.
Pas besoin d'etre un génie pour comprendre ce que tu viens de faire et ce qu'il se passe. Le bonhomme, apparament travaillait pour le gouvernement Français et les Nations Unies.

Lionel ne savait même pas quoi dire. Il fallait avouer que la situation n'était pas exactement comme il l'aurait souhaitée. Insulter des humains comme ce scientifique ou encore la fille pour leurs actions aux conséquences désastreuses, il savait faire, mais affronter des robots qui, à la base, devaient régler des problèmes... ce n'était pas comme ça que son cerveau avait appris à fonctionner. Dans le doute, il ajouta cette machine à la longue liste des débilités commises par l'humanité.

"Dis voir, j'espère que tu te souviens de la tête de celui qui t'a donné ce contrat ? Je crois qu'il te doit des explications."

On avait souvent dit à Lionel qu'il faisait un mauvais homme de main. Pose trop de question, on lui disait. Mais voilà, il était incapable de ne pas se mêler de ses affaires.

"Et toi, qu'est-ce que tu fiches ici ?" lança-t-Il au gosse "Je t'ai vu la suivre depuis le bar."

La bombe EM est tout sauf finit. Il manque le reacteur Néon, le diffuseur ionique et au moins 4 bobines electromagnétique, vu la taille de la bete (qui ressemble a un frizbee cranté)

Lionel n'y connaît pas grand chose en bombes. Donc il regarde le machin en essayant d'imaginer à quoi ça aurait pu servir. On aurait dit ces reliques de la guerre, et à part pour faire exploser des bâtiments, il avait du mal à visualiser à quoi cela pouvait bien servir en dehors d'un cadre militaire.

La bombe est un bijou technologique. Tu pense pouvoir la reparer et d'ailleur, tu sais que les bobines sont trouvables dans les planques de la Fondation H. Pour le reacteur et les diffuseur, ça va etre une autre histoire

-Ca ne te regarde pas

Mika cherche un endroit où il peut communiquer.

Mika, tu ne trouve pas. Les interferances sont sur tout l'étage. Et vu l'intensité, peut etre tout l'immeuble.

-Putain!

Mika peste, et se demande qu'est-ce qu'il devrait faire à ce moment là.

"Parce que maintenant si une armée de robots tueurs se prépare je ne sais où et que des gens aussi louches que toi sont envoyés s'espionner les uns les autres à ce sujet pour le compte de je ne sais qui, je suis censé m'asseoir, fermer ma gueule et attendre que tout se passe derrière mon dos ? Désolé mais j'ai bien l'impression que cette histoire me regarde, et j'aimerais bien comprendre ce qui se passe dans cethe putain de ville !"

Il s'interrompt quand la fille lui demande son nom. Il n'a à vrai dire pas spécialement envie de le dire sachant que le gamin, qui lui paraît officiellement beaucoup plus bizarre qu'elle, est dans le coin. Alors il sort sa facture-avion-en-papier et lui montre l'aile où son nom est inscrit. Il n'a pas envie d'être sur la liste noire de l'organisation qui fait travailler ce gosse.

-Bien, je m'appelle Léo Donnigo, content? Et, si j'étais dangereux, je vous aurai déjà tué non, ou du moins agressé. Et j'en sais rien sur cette ville, j'aimerai tout autant en savoir que toi.

Mika se fait craquer les doigts et soupire.

-Trop lourd pour moi, désolé

Mika ment, il est musclé mais il est encore dans son jeu de l'enfant.

"C'était pas à toi que je m'adressais." lança-t-elle à Mika. "Je fais pas confiance à un gars qui me met en danger."

-Au pardon, je n'ai que 10 ans, et sache qu'un enfant de 10 t'a aussi sauvé d'un robot et en plus, tu viens de tuer un type sans aucun raison, donc on ne se la ramène pas trop.

-Tu vis dans quel monde alors? Il faut bien gagner sa nourriture quand on est orphelin et l'arme, il faut bien se défendre non? On est en 2010 pas dans un monde parfait où les enfants rient et courent partout.

Lionel en aurait conclu que l'enfant était un idiot en quête d'aventure si ie ne trimballait pas deux armes à feu dont une qu'il avait inspectée en détail plus tôt. Néanmoins c'était toujours une arme à feu de plus que lui. 

"Si tu crois que la seule chose que quelqu'un de dangereux puisse faire c'est de tuer, alors en plus d'être un menteur, t'es aussi assez con le mioche."

Bah. Pouvait-on vraiment espérer une argumentation convaincante de quelqu'un qui avait à peine passé l'âge de blâmer son ami imaginaire pour avoir renversé son bol de céréales ?

Il répondit à la fille, pointant son épaule où là déchirure de sa veste laissait voir le sillon d'une balle.

"À nous deux on a deux épaules intactes, ça doit être suffisant.."